Petite histoires de l'entourage ...

Jehkyl #4

- Oui, on vient d'arriver, leurs dit Jehkyl.

- D'accord, dit mon frère.

Ils s'installent.

- Je suis claquer, dit mon frère, avec la chaleur, la plage m'a tuer. Pas toi?

- Non, dis-je, ça fait du bien.

La soirée passe vite, le repas était délicieux, même-ci je n'ai pas beaucoup parler, nous nous sommes quitter vers les 22h30, mais dans ma chambre je ne fait que tourner en rond, je n'ai pas sommeil, je prends un gilet et quitte ma chambre, je quitte ensuite l'hôtel, je marche le long de l'hôtel, le ciel est claire et les étoiles son bien présente, c'est la pleine lune.

- Tu n'est pas couchée?

Je me retourne, Jehkyl est devant moi, il me regarde en souriant.

- Non, j'avais pas sommeil et toi?

- Moi non plus, dit-il. C'est sympa ici tu ne trouve pas?

- Oui, dis-je. C'est pas à Paris qu'on peut voir ça.

- C'est sûr.

Je recommence à marcher. Jehkyl marche à mes côté.

- Tu ne parle pas beaucoup dis moi, me dit-il.

- Non...

- Tu est timide.

- Oui.. c'est ce qu'on dit.

- Pourtant je ne suis pas méchant.

Je rie.

- C'est juste que... enfin.

- Tu est timide, ajoute-t-il en souriant.

- Oui... Mais je peux pas me forcer à être quelqu'un d'autre.

- Il faut pas, me dit-il. Tu est bien comme tu est, très bien même.

Heureusement qu'il fait plus sombre comme ça il ne peut pas voir que je rougie a cause de ces parole. Je l'entends rire.

- Qu'est ce qu'il y a? lui demandai-je.

- Je suis sûre que tu rougie, j'aurai voulu voir ça. Enfin revoir, c'est vraiment à croquer.

- Tu me gêne là.

- Excuse moi, dit-il. Je voulais pas faire mon gros lourd.

- T'inquiète pas, j'ai connu pire, lui dis-je.

Nous marchons encore un peu.

- Comment ça? me demande-t-il.

- Rien, laisse tomber. Si on rentrait?

- Oui, si tu veux, me dit-il.

Nos regagnons l'hôtel, nous montons dans l'ascenseur.

- Je n'ai pas encore sommeil, lui dis-je, on pourrait se regarder un film? demandais-je timidement.

- Ca sera avec plaisir, me dit-il.

Je lui sourit. L'ascenseur s'ouvre a ce moment, on se dirige vers ma chambre, j'ouvre la porte, il referme derrière lui. Je retire mon gilet et mes chaussures.

- Met toi à l'aise, lui dis-je, qu'est ce que tu veux regarder?

- C'est toi qui m'a invité c'est toi qui décide, me dit-il en riant.

J'allume la télé, et cherche un film dans les chaînes.

- Tiens Rocky? dis-je

- Très bonne idée.

On s'installe sur mon lit, chacun d'un côté, le film est lancé, je le connais par cœur mais je ne suis pas la seule.

- Qu'est ce qu'il y a ? me demande-t-il.

- Rien, je me dit qu'il n'y a pas que moi qui connais le film par cœur.

Maxime me sourit.

- C'est un grand classique, j'adore tous les Rocky. Pas toi?

- Si, lui dis-je. Tous...

Le silence reprends sa place, les paroles du films remplisse la pièce. Mes yeux finissent par se fermer tout seule, ma tête devient lourd, je la pose sur un des oreillers, je n'ouvre plus les yeux, et plonge dans un profond sommeil.

Le lendemain quand je me réveille, je suis sous la couette, mais habiller comme la veille. Je cligne plusieurs fois des yeux et me rappelle de la soirée, Rocky, Jehkyl dans ma chambre. Je quitte mon lit et me dirige directement vers la salle de bain, après une douche rapide, je descend prendre mon petit déjeuner. Mon frère est déjà à table avec ma mère, j'arrive devant eux, j'embrasse ma mère puis mon frère.

- Tu a bien dormi ma chérie?

- Oui, lui dis-je, très bien et vous?

- Très bien aussi, me dit-elle. Shopping c'est après-midi ça vous dit?

- Oui, pas de problème.

- Pareil, je ne dirai jamais non pour une après-midi shopping, lui dis-je.

Après le petit déjeuner je quitte la table. J'entre dans l'ascenseur et appuie sur mon étage. L'ascenseur s'ouvre sur Maxime, il me regarde en souriant, alors que moi je me sens plutôt gêner.

- Tu a bien dormi? Me demande-t-il en souriant.

- Oui... merci, et désoler, je ne m'endors pas comme ça d'habitude.

- Ca ne m'a pas déranger.

Les portes de l'ascenseur s'ouvre, je sort.

- Noelia.

Je me retourne.

- Oui?

- Quand tu dors, tu est vraiment a croquer, carrément mignonne même.

J'ouvre gros les yeux, les portes se referme. Mes joues chauffe. Je me précipite dans ma chambre, le cœur qui bat fort, je m'adosse contre la porte et prends de longue inspiration...

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