Framal #6

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Point de vue Framal

Je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit, alors quand j'ouvre les yeux ce matin c'est très dur. Je sens quelque chose me chatouiller le visage, quand je me tourne, je voie Cléo endormi, c'est ces cheveux brun qui me chatouille, elle dors paisiblement, elle c'est endormi épuiser en pleurant, je ne savais pas quoi faire, j'ai envie de tuer toute ça famille, comment peut ton faire ça a son propre enfant, elle se tourne dos a moi et je plonge mes yeux dans son dos, certaine de ces cicatrices font la longueur de son dos, d'autre son plus petite et son guéris. Je ne peut pas détourner les yeux. Elle dors si bien, elle marmonne quelque chose d'incompréhensible, qui me fait sourire. Nos jambes son emmêlées. Je reste la regarder quelque minutes avant qu'elle ce réveille pour de bon, elle se tourne vers moi, encore toute endormi. 

- Salut, me dit-elle.

- Bonjours, dis-je a mon tour. Bien dormi? 

- Oui, dit-elle, enfin pour le peut oui et toi? 

- Oui. 

Je quitte la chaleur du lit, elle fait de même. Une fois dans la cuisine, je nous prépare un bon petit déjeuner, il est 13h00 passé. Nous prenons notre petit déjeuner devant la télé, nous sommes dimanche et il n'y a pas grand chose. 

- Oh, je ne t'ai pas dit mais Sophie m'a invitée pour qu'on n'ail faire du shopping ensemble. 

- C'est vrai, cool, tu va y aller? lui demandais-je.

- Oui, quand j'aurai eu mon premier salaire, c'est a dire en janvier. 

- Si tu veut...

- Non, me coupe t-elle, tu en fait déjà beaucoup pour moi, alors non, je ne veut pas de ton argent pour m'acheter des vêtements, même si les miens ne sont pas de toute première fraîcheur, je refuse que tu me donne de l'argent. 

- Mais Cléo. 

- Non, Idriss, je ne veut pas, je peut encore faire un bon mois sans nouveau vêtements. 

- Mais pour noël, dis-je.

- Le portable mon chère, et je te dit quand je serai engagé pour de bon à la librairie, je te rembourserais tout l'argent que tu a dépenser pour moi. 

- Mais ce son des cadeaux. 

- Ce que je veut dire c'est que je te paierais un loyer, me dit-elle. 

J'ai envie de la contre-dire une nouvelle fois, mais je sais qu'elle va bouder, alors je me tais. Nous terminons notre petit déjeuner. Le reste de la journée nous la passons devant la télé, Mékra nous rejoint en fin de journée. 

Point de vue Cléo

Le lendemain, je suis debout assez tôt, je commence ma première journée de travaille à la librairie. Je porte un simple jean et un t-shirt noir, avec une veste de la même couleur. 8h00 je quitte l'appartement, je n'ai pas vue Idriss, qui dors sans doute. Je n'ai pas voulu le réveiller, même si il ma dit qu'il me conduirait, il c'est coucher tard, alors je n'avais pas envie de le réveiller. J'ai pris le métro et je suis arriver une demi-heure en avance, je trouve la porte ouverte, Mégane range un peu les livres, quand elle entend la cloche tinté, elle relève la tête et me sourit, elle laisse tomber ce qu'elle fait pour venir me voir. Elle me fait la bise. 

- Comment tu va Cléo? me demande-t-elle.

- Bien et toi? tu est tôt dis donc. 

- Ouais, j'aime prendre mon temps. 

Durant toute la mâtiner, elle m'explique comment fonctionne le magasin, elle me montre les encaissement. A l'heure du déjeuner, Mégane m'invite dans a manger dans un petit restaurant. Même si au départ j'ai refuser, elle a insister, pour qu'on n'apprenne a ce connaître. C'est pour ça, que nous sommes installer a une petite table de deux. Après la prise de notre commande, mon portable sonne, m'annonçant l'arriver d'un message. Mon sourire s'affiche quand son nom s'affiche. 

De Idriss A Cléo

Je pensais que je devait t'emmener?! Tu termine a quel heure pour que je vienne te chercher? 

De Cléo A Idriss

Je termine à 18h. 

De Idriss A Cléo

D'accord, j'y serai. 

Je range mon téléphone. 

- C'est ton copain? me demande Mégane. 

- Oh non, mon colocataire Idriis, dis-je. Et toi tu a un copain? 

- Non, enfin je vois de temps en temps quelqu'un mes c'est pas mon copain, il aimerais plus, mais je me trouve pas assez bien pour lui. 

- Pourquoi? demandais-je.

- Oh, il est connu et enfin voilà, je ne veut pas en dire plus, sinon enfin bref...

Nos plat arrive, nous discutons de pas mal de chose. L'après-midi, tout se passe bien, j'encaisse toute seul mais sous le regards de Mégane, ensuite, je met les nouveauté en rayons, et range un peu. Les clients s'enchaîne. Je ne me souvenait pas qu'on pouvait vendre au temps de livre avec toute la nouvel technologie de maintenant, entre les liseuses, internet. Le vieux bouquin en papier résistera. A 18h00, la porte du magasin s'ouvre, Idriss y entre, je termine d'encaisser une cliente quand il arrive vers moi. Je m'approche de lui et lui fait la bise. 

- Tu m'énerve, me dit-il. 

- Désoler, je sait que tu tes coucher tard, alors je ne voulais pas te réveiller, ne m'en veut pas s'il te plait. 

- Il m'en faudrait plus pour t'en vouloir, me dit-il en souriant. 

- Bonsoir, nous dit Mégane. 

Nous nous tournons vers elle, elle nous regarde en souriant. 

- Idriis, je te présente Mégane, et voici Idriss. 

- Salut, lui dit-il. 

- Je vais juste récupéré mon sac et ma veste et on peut y aller, dit-je a Idriss. 

- Je t'attend. 

Mégane me fait un grand sourire, après avoir récupéré mes affaires et saluer Mégane nous quittons la boutique. Nous marchons côte a côte, jusqu'à ça voiture, une fois à l'intérieur, il nous conduit, jusqu'à un endroit que je ne connais pas. 

- Où va-t-on? lui demandais-je.

- Au studio. 

Arrivé dans le studio, je salue tout les garçons présent. Je m'installe ensuite sur le petit canapé beige. 

- Ta journée c'est bien passé? me demande Ken.

- Oui, dis-je c'était super. 

- Temps mieux, alors, Framal était vénère que tu ne l'ai pas réveiller pour qu'il t'emmène. 

- Je sais, lui dis-je, mais je ne voulais pas le réveiller et pis il ne m'en veut pas. 

- ça c'est vrai, je ne sais pas de quoi il pourrait t'en vouloir, dit-il en regardent Idriss.

- Déjà j'était pas vénère, nous coupe t-il. 

Ken me regarde en souriant, je ris, moi qui pensais qu'il était en pleine discutions avec 2zer, bah c'est raté. 

- Aller je vais faire une session, nous dit Idriss. 

Je le regarde partir dans la cabine, je l'écoute rapper, et je ne vais pas mentir, je me sens comme emporter par son texte, il n'y a que lui, c'est parole me vont droit au coeur. Je suis hypnotiser par ces gestes, par ces lèvres qui bouge. 

- Il est beaux n'est ce pas? 

- Oui, dis-je.

Attend quoi?! Je me retourne vers Ken, qui bien sûr est mort de rire. 

- Oh la ferme, dis-je! 


Alors comment trouvez vous ce chapitre? Dîtes moi tout! Framal? Mégane? Ken

Bisous

Petite histoires de l'entourage ...Where stories live. Discover now