Si on me demandais de me décrire, je me comparerai à un objet splendide que je surnomme le médicament de tout les mal. Ou plus couramment nommer : un livre ;
Le choisir c'est l'aimer, et le lire c'est le respecter.
Le délaisser c'est l'oublier et le rendre, c'est l'abandonner.
Le jeter ce n'est pas le mériter. Le partager c'est lui prouver qu'on l'aime.
Si tu joues avec, tu prends le risque de l'abîmer.
Mais si tu en prends soin, c'est s'assurer de le retrouver dans les moments difficiles.
Le lire, c'est prendre le risque de le découvrir au fur et à mesure. Mais tout comme les histoires qu'il contient, il faut faire attention aux revirements de situations.
Il peut être là pour te faire oublier tes problèmes, te faire entrer dans son monde et te faire partager ces histoires.
Il peut être là pour t'aider à surmonter les épreuves, te montrer que tu n'es pas seul et que d'autre l'on fait.
Dans ces cas là, il ne parle pas mais sera toujours là pour toi.
Mais attention, on peut se révéler féroce, t'imposer avec brutalité la vérité de la vie et si tu persiste à vouloir le forcer à te vendre ces secrets, il va falloir abandonner l'idée de te croire capable de supporter son poids.
Il fera alors en sorte de se perdre pour que tu ne le retrouves pas.
Mais s'il attend vraiment une chose de toi, c'est que tu ne le juge pas.
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