Depolux

Merci à vous !
          
          Comme des lampes qui s’allument au loin dans la nuit du front,
          vos lectures nous rappellent que, quelque part, des yeux veillent encore sur nos mots.

Le pas de deux touche à sa fin… ou bien commence-t-il vraiment ?
           Ce soir, sous les hiboux et les tilleuls, Marie attend Louis
          
          Le chapitre 8 qui clos l’opus 3 est en ligne.

Sous les feuillages, l’ombre s’épaissit… et le trouble aussi. 
           Un frisson, une main effleurée, un silence habité. 
           Louis et Marie s’avancent sur le fil invisible de ce qui commence.
          
          Le chapitre 7 est en ligne.

Ils galopent à travers bois, dans un souffle de feuilles mortes et de trouble contenu.
           Elle le défie. Il la suit.
           Le jeu s’installe, le pas de deux commence.
           Et la forêt devient le théâtre silencieux de ce qui naît.
          
          Le chapitre 6 est en ligne.

Ils étaient à quelques centimètres l’un de l’autre.
           Une main tendue.
           Un mot de trop, un geste, et plus rien ne serait comme avant.
           Entre l’ombre et la lumière, entre peur et désir, le pas de deux continue.
           Et cette fois, c’est le silence qui choisit.
          
          Le chapitre 5 est en ligne.

Louis et Marie prennent une pause. Le chapitre 5 s’écrit, dans les murmures et les doutes. À très bientôt…

Ils étaient à quelques centimètres l’un de l’autre.
           Une main tendue.
           Un mot de trop, un geste, et plus rien ne serait comme avant.
           Entre l’ombre et la lumière, entre peur et désir, le pas de deux continue.
           Et cette fois, c’est le silence qui choisit.
          
          Le chapitre 4 est en ligne.

Un sentier oublié, une clairière hors du temps.
           Marie s’y dévoile. Louis observe.
           Les mots sont rares, mais tout se joue là — dans la lumière, le silence, et un  prénom dit pour la première fois.
          
          Le chapitre 3 est désormais disponible.

L’Opus III est en ligne.
           Elle a tendu un mot. Il est venu.
           Deux chevaux attendent, un sentier s’ouvre, et le silence devient promesse.
           Dans la lumière de l’Est et l’ombre des sous-bois, ils avancent à pas mesurés — vers ce qui ne  peut plus être ignoré.
          
           Deux premiers chapitres vous attendent.
          
           L’écho du frôlement est encore là, mais la danse, cette fois, est à découvert.

Le pas de deux commence bientôt.
           Une invitation. Deux chevaux. L’ombre d’un bois.
           Ils se sont cherchés du regard. Les voilà côte à côte, en selle, au rythme lent d’un trouble ancien.
          
           L’Opus III s’apprête à paraître.
          
          À suivre, lentement — comme on suit une main sur l’encolure d’un cheval nerveux.