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Je le regards un instant. Il me porte tellement d'amour dans ses yeux qui commence a être embués. Des torrants de larmes coulé des miens. J'avais jamais aimé avant lui et dire que je le haissais. Puis je me souviens de ce qu'il a pu me faire, ce qu'il a pu me dire, ce qu'il a oser évoquer pour me blesser alors qu'il connaissait mes souffrances.

Moi : Tu dégage de chez moi maintenant je veux plus jamais te voir.

Ma voix se casse a mesure que je prononce ses mots qui m'écorche la langue.

... : Tu te moque de moi? Je viens de t'avouer ce que je ressentais pour toi!

Moi: C'est toi qui m'a rendu comme ça je peux plus avoir confiance en toi! Ta vu comme tu m'a rendu? Regard comment je suis!

... : Je m'excuse Shérazade s'il te plait regard moi, t'es magnifique, t'es la plus belle a mes yeux. Tu peux pas me lacher. On se l'ai promis on se fait toute les crasses mais ça non. WAllah tu peux pas me faire ça. Je te désir comme pas possible. Je te veux toi et personne d'autre.

Il s'avançe vers moi en posant ses mains sur mes joues. A son contact je sens des frissons me parcourir, sa peau contre la mienne me brule. Son odeur qui me réconforte me parviens et me rend folle parce que je me dis que c'est la dernière fois que je la sentirais, je l'aime et je veux le serrer dans mes bras, la j'en ai besoin. J'allais ceder mais je finis par me rappeller et me raisonner, alors je recule brusquement.

Moi: Tu me touche plus sayer. Tu pose plus tes yeux sur moi. On arrête c'est bon stop!

On se cria dessus encore je le sentais a bout, je le blesse de par mes mots car la haine a pris le dessus puis il finit par partir. Et je re pense a comment on en était arrivé la. J'aurais peut etre du continuer a le détester c'était la meilleure des choses.