Écrire pour Vivre, Écrire pour tout
PetiteCorneille
Le syndrome de la page blanche paralyse, et tétanise. Certains jours, j'ai envie d'écrire simplement, sans faire résonner d'histoire. Au final, écrire est une délivrance, et pas besoin que les mots aient de sens.
Ici, j'écris pour écrire, je me libère des schémas narratifs et des trames d'intrigues ; car je veux juste être libre. Libre d'écrire.
Mais cette liberté pourrait s'exprimer d'une façon étrange... car tous les chemins mènent à l'intrigue (et peut-être à une rébellion).
Parfois, en se contentant d'écrire pour écrire, l'on finit par écrire pour délivrer.